Espaces verts

Utilisation rationnelle de l’eau : la commune donne l’exemple

Consciente de la nécessité de protéger les ressources en eau, la commune s’est engagée dans une gestion raisonnée de l’eau dans les espaces verts publics. Ainsi, en période estivale, l’arrosage des espaces verts est réduit au minimum. Il est effectué la nuit, sur une durée limitée. L’utilisation de l’eau provenant du canal de Provence est privilégiée, afin de limiter la consommation d’eau potable.

Pour ses futurs aménagements paysagers, la municipalité a choisi de développer des jardins secs, en sélectionnant des plantes locales ou exotiques, résistantes à la sécheresse.

L’entretien des espaces verts en quelques chiffres

Aux Issambres

  • 1503 m2 de pelouse
  • 570 m2 de massifs de fleurs
  • 11746 m2 de massifs d’arbustes
  • 3038 m2 de haies
  • 370 arbres

Au Village

  • 5193 m2 de pelouse
  • 865 m2 de massifs de fleurs
  • 1135 m2 de massifs d’arbustes
  • 1311 m2 de haies
  • 208 arbres

A la Bouverie

  • 1119 m2 de pelouse
  • 50 m2 de massifs de fleurs
  • 688 m2 de massifs d’arbustes
  • 1233 m2 de haies
  • 98 arbres

Les aménagements paysagers les plus récents

L’entrée dans le quartier de San Peïre, aux Issambres, ne correspondait pas à l’image d’un centre de ville accueillant et dynamique, alors même qu’il s’agit du cœur d’activités des Issambres: services publics, poste, marché, commerces et animations, qui marquent la vie du quartier.
Afin de répondre à la demande de la population, demande soulevée lors des conseils de quartiers des Issambres, la ville a donc réaménagé cette entrée de San Peïre.

Par ailleurs, le panneau “San Peïre”, peu visible auparavant, a été remplacé par une indication de qualité réalisée par l’artiste Yves CASS.

Aménagement du Square Jean Moulin au Village
Suppression de la haie trop envahissante au bénéfice d’une haie plus esthétique
et plantation d’un olivier centenaire. Suppression de la pelouse au bénéfice d’un sol recouvert de gravillons et de sable de couleur.

Vigilance sur les palmiers

Menace sur les jardins et les espaces verts, depuis plusieurs années, des prédateurs redoutables déciment nos palmiers varois : « les charançons rouges » ! Face à ce fléau, un arrêté ministériel en date du 21 juillet 2010, rend obligatoire la lutte contre le charançon rouge et oblige les communes et les particuliers à déclarer les foyers infestés. Plusieurs foyers infestés ont déjà été signalés au service des espaces verts de la commune de Roquebrune-sur-Argens ; c’est pourquoi il est demandé aux propriétaires de palmiers la plus grande vigilance. La propagation de cette infection étant très rapide avec une issue fatale pour les palmiers infestés.

Ainsi, tout palmier suspect (suintements, affaissement, cocons,…) doit être OBLIGATOIREMENT déclaré en mairie, auprès des services techniques et auprès du Service Régional de l’Alimentation (S.R.A.L.). Un contrôle, et une confirmation de diagnostic seront alors réalisés par des professionnels agréés auprès de la chambre d’agriculture.

Télécharger la fiche de signalement d’un palmier contaminé

Télécharger la fiche de signalement

Retrouvez l’intégralité de l’arrêté du 21 juillet 2010 relatif à la lutte contre Rhynchophorus ferrugineus (charançon rouge) et l’arrêté du 5 décembre 2011 précisant les Communes couvertes en tout ou partie, de zones contaminées :

Télécharger l’arrêté du 21 juillet 2012 relatif à la lutte contre Rhynchophorus ferrgineus ( charançon rouge)

Télécharger l’arrêté du 5 décembre 2011 précisant les Communes couvertes en tout ou partie, de zones contaminées

Plus d’informations sur le site Estérel Côte d’Azur Agglomération